Said Bouhaj
Morocco
*English below French
French:
Face à la diversité culturelle, religieuse, linguistique dont caractérisent la plupart des Etats, l’enjeu actuel pour ceux-ci est : comment peut-on vivre ensemble dans un environnement stable où la paix règne ? Ainsi, comment peut-on concilier entre les valeurs individuelles des individus et les valeurs collectives imposées par l’entourage où les individus y vivent ? Par conséquence, comment peut-on convaincre les différentes parties prenantes que NOUS SOMME TOUS UN (WE ARE ALL ONE) ayant pour vocation de véhiculer une philosophie d’empêcher l’extrémisme, la discrimination et l’inégalité.
Puisque la négligence de cet enjeu, est à l’origine de l’apparition des mouvances et mouvements extrémistes et de radicalisme, des groupes terroristes qui circulent des pensées haineuse, racistes et antisémitiques ou sur la base religieuses ayant une porté de menacer la stabilité sociale, économique et politique de nations.
En absence des attributs et des perceptions partagées par le concept « WE ARE ONE » et qui sont : la culture de la citoyenneté du monde, l’unicité, la stabilité, la sécurité, la fraternité, et l’égalité dont cette divergence culturelle en a besoin, des pays sont éloignés de leurs origines, des menaces sérieuses sont arrivées des séparatismes, des projets de balkanisation et d’affaiblissement ou de la fragmentation des unions et des régions et Etats.
La solidification chez les « citoyens du monde » de la culture de « We Are All One » est une éducation à enseigner, une culture à inculquer, une mesure à prévoir dans les politiques publique, dans la mesure que personne n’a choisi ses racines ainsi, cette inculcation doit être mise en œuvre par : des campagnes de sensibilisation sur l’intérêt de vivre ensemble ; prévoir cette culture dans les programmes des études primaires et dans les plans du formations sur le management interculturel chez les salariés au sein des organismes publics et privés.
Il en est de même pour les décideurs politiques qui doivent œuvrer pour faire de leur Etat un milieu où il fait bon vivre ensemble. En plus, l’enjeu est de savoir comment peut-on constitutionnaliser les langues lorsqu’un pays détient plusieurs langues et dialectes ? Comment peut-on éduquer les citoyens une culture d’identité commune pour vivre dans la paix ? Et comment peut-on prendre en considération la problématique de l’immigration, de réfugies, des expatries ainsi que la distinction ethnoculturelle dans la gestion des choses locales ?
La culture « WE ARE ALL ONE » a également pour but, d’encourager la solidarité inter-pays, de soutenir économiquement les pays sans littoral, de promouvoir le dialogue interculturel, de considérer la dissimilitude d’identité et de rites comme une richesse nationale et capital immatériel des nations, de valoriser et encourager chez la génération actuelle sur «la solidarité intergénérationnelle » ayant pour objectif d’éviter à ce que la génération d’avenir ne soit pas victime d’une surexploitation des ressources naturelles limitées et finalement, de mobiliser les outils de solidarité nationale dans les quartiers populaires et des zones enclavées.
En plus, NOUS SOMMES TOUS UN car on vise la promotion et la protection des droits des minorités ethnique, linguistiques, religieuses ou nationale tel qu’ils sont édictés par les textes internationaux de l’ONU et UNESCO, en vue de garantir leur droit à l’intégration dans une société à majorité civile, d’accéder à l’emploi et aux services publics, d’exercer leurs droits et obligations constitutionnelles sans obstacles et de faire cohabiter les personnes ayant de mode de vie, des normes et des valeurs différentes, et enfin, de rapprocher entre la dominance masculine face à la marginalisation féminine, notamment dans l’exercice des droits humanitaires, d’accès à l’emploi et aux postes de responsabilités.
Avec WE ARE ALL ONE, ensemble unis pour rendre l’impossible, possible !”
English:
Faced with the cultural, religious and linguistic diversity that characterizes most states, the current challenge for them is: how can we live together in a stable environment where peace reigns? Thus, how can one reconcile the individual values of individuals with the collective values imposed by the environment in which individuals live? Consequently, how can we convince the different stakeholders that WE SET ALL (WE ARE ALL ONE) with a vocation to convey a philosophy to prevent extremism, discrimination and inequality.
Since the neglect of this issue has led to the emergence of extremist movements and movements and radicalism, terrorist groups circulating hateful, racist and anti-Semitic or religious-based thoughts that threaten social stability , economic and political nations.
In the absence of the attributes and perceptions shared by the “WE ARE ONE” concept, which are: the culture of world citizenship, unity, stability, security, fraternity, and equality, the cultural divergence of which needs, countries are remote from their origins, serious threats have arisen from the separatism, the projects of balkanization and weakening or the fragmentation of the unions and the regions and states.
The “citizens of the world” solidification of the culture of “We Are All One” is an education to be taught, a culture to be taught, a measure to be foreseen in public policy, to the extent that no one has chosen its roots thus, this inculcation must be implemented by: awareness-raising campaigns on the interest of living together; to foresee this culture in the programs of the primary studies and in the plans of the training courses on the intercultural management in the employees in the public and private organizations.
The same applies to political decision-makers who must work to make their State a good place to live together. In addition, the issue is how can we constitutionalize languages when a country has several languages and dialects? How can citizens be educated about a common culture of identity in order to live in peace? And how can one take into consideration the problems of immigration, refugees, expatriates and the ethno-cultural distinction in the management of local things?
The “WE ARE ALL ONE” culture also aims at encouraging inter-country solidarity, supporting economically landlocked countries, promoting intercultural dialogue, considering dissimilarity of identity and rituals as a national wealth and intangible capital of nations, to value and encourage the current generation on “intergenerational solidarity” with the aim of avoiding the generation of the future from overexploitation of limited natural resources and, finally, mobilize the tools of national solidarity in the working-class neighborhoods and enclaved areas.
Moreover, WE ARE ALL ONE because we aim to promote and protect the rights of ethnic, linguistic, religious or national minorities as enacted by the international texts of the UN and UNESCO, in order to guarantee their right to integration into a majority-owned society, access to employment and public services, exercise their constitutional rights and obligations without barriers, and cohabit people with different lifestyles, standards and values , and finally, to bring men’s dominance in the face of women’s marginalization, particularly in the exercise of humanitarian rights, to access to jobs and positions of responsibility.
With WE ARE ALL ONE, together united to make the impossible, possible! “